Un salarié est licencié pour faute grave suite à son refus de se voir appliquer la clause de mobilité ; refus qu’il allègue être légitime dans la mesure où l’employeur ne proposait pas de prendre en charge les frais de déplacement supplémentaires liés au changement d’affectation et donc, selon lui, le mettait ainsi dans l’impossibilité d’exécuter ses obligations contractuelles.
Articles récents
- (pas de titre)
- Jean JÉNIN, dirigeant de l’Imprimerie des Hauts de Vilaine : l’alliance du savoir-faire traditionnel et de l’innovation durable
- Les arrêts de travail peuvent désormais être contrôlés par visioconférence
- Les précisions de la Cour de cassation sur le droit d’alerte du CSE en cas d’atteinte aux droits des salariés
- L’ANACT publie un kit de prévention contre les violences sexistes et sexuelles à destination des référents CSE et des employeurs
- (pas de titre) Article 20825
- Jean JÉNIN, dirigeant de l’Imprimerie des Hauts de Vilaine : l’alliance du savoir-faire traditionnel et de l’innovation durable
- Les arrêts de travail peuvent désormais être contrôlés par visioconférence
- Les précisions de la Cour de cassation sur le droit d’alerte du CSE en cas d’atteinte aux droits des salariés
- L’ANACT publie un kit de prévention contre les violences sexistes et sexuelles à destination des référents CSE et des employeurs



