Une entreprise en difficultés économiques avait engagé un plan de départs volontaires en vue de la suppression de 500 postes. Suite à une action du comité d’entreprise et des syndicats, ledit plan avait été annulé par le Tribunal de grande instance en raison de son insuffisante précision sur les mesures de reclassement externe.
L’annulation du plan de départ volontaire invalide les conventions de rupture de départ volontaireArticles récents
- Le protocole d’accord préélectoral ne peut pas imposer un ordre d’alternance entre les femmes et les hommes sur les listes de candidats
- Qu’est-ce que l’ « APLD rebond » prévu par le projet de loi de finances pour 2025 ?
- Aides à l’embauche d’apprentis : un projet de décret prévoit de réduire leur montant
- L’utilisation dérogatoire des titres-restaurant pour tout produit alimentaire est prolongée jusqu’au 31 décembre 2026
- Les mesures sociales annoncées par le Premier ministre lors de sa déclaration de politique générale